Visitaion At Fort Horn - Bruce Springsteen

Behind the walls, where heat lightning falls

On five-starred map-faced princes

The buffalo man shoots at tin cans

Turns and shouts 'Children, blow your bridges'

In death row halls, where dust men stall

For time's an enemy and a friend

At night, jackals crawl from the cracks in the walls

The salvation is never spoken



Morning sickness breaks the garrison gates

The cavalry cries for treason

The soldier strokes his pony

And goes to shine the Captain's sword

In this young boy's eyes lie reason



But then the Sergeant burst in, says

"Captain, I caught a prisoner, Captain. A prisoner, what ho?

The Captain looks up and says, 'Let her go."

'But Captain, she commands the lightships that patrol the sea around the rainbow tips

Whose bagpipes wail unbroken

She haunts the night and the dawn and the light

On her sounds and words, your cavalry's choking'

The Captain says, 'Have no fear, boys, for what you hear

Because danger can't be spoken'



The war wind crackles and I hear the rustle of shackles

From the stockade door bursts Merlin

His eyes red and swollen, like they've been pushed into the sun

His robe's aflame and burning

He jumps a horse, tries to get away, but gets caught in his irons,

Tangled in his irons, and he falls to the ground, his neck was broken

His spirit rises high into the western sky

The magician lies an empty token



The sergeant walks over and kicks his body and says

"Captain, he's dead, uh, I think he's dead, uh, what should we do with him?'

The Captain says, 'Hang him.'

For those live moments on this earth are well-spent

And I can see his body sure well-bent

It's his magic that must be broken

-ac

Derrière les murs, là où la chaleur tombe,

Sur des princes à cinq étoiles face à la carte

Le buffle tire sur des boîtes de conserve

Tourne et crie 'Enfants, faites sauter vos ponts'

Dans les couloirs de la mort, où les hommes de poussière stagnent

Car le temps est un ennemi et un ami

La nuit, les chacals rampent des fissures dans les murs

Le salut n'est jamais prononcé \u003cbr />


Les nausées matinales brisent les portes de la garnison

La cavalerie pleure pour trahison

Le soldat caresse son poney

Et va briller l'épée du capitaine

Dans les yeux de ce jeune garçon se trouve la raison



Mais le sergent a fait irruption, dit

"Capitaine, j'ai attrapé un prisonnier, capitaine. Un prisonnier, quoi ho?

Le capitaine lève les yeux et dit: "Laisse-la partir."

"Mais capitaine, elle commande les bateaux-phares qui patrouillent la mer autour des pointes de l'arc-en-ciel

Dont les cornemuses gémissent sans interruption

Elle hante la nuit et l'aube et la lumière

Sur ses sons et ses mots, ta cavalerie s'étouffe '

Le capitaine dit: "N'ayez pas peur, les garçons, pour ce que vous entendez

Parce que le danger ne peut pas être dit '



Le vent de guerre crépite et j'entends le bruissement des entraves

De la porte de la palissade éclate Merlin

Ses yeux rouges et gonflés, comme s'ils avaient été poussés au soleil

Sa robe enflammée et brûlante

Il saute un cheval, essaie de s'enfuir, mais se prend dans ses fers,

Emmêlé dans ses fers, et il tombe au sol, son cou était cassé \u003cbr />
Son esprit s'élève haut dans le ciel occidental

Le magicien se trouve un jeton vide



Le sergent se dirige vers lui et lui donne des coups de pied et dit

"Capitaine, il est mort, euh, je pense qu'il est mort, euh, que devons-nous faire avec lui? '

Le capitaine dit: "Pendez-le."

Pour ces moments en direct sur cette terre sont bien dépensés

Et je peux voir son corps bien courbé \u003cbr />
C'est sa magie qui doit être brisée

-ac