Voter pour Jetsabel Removes The Undesireables :
Voter pour Jetsabel Removes The Undesireables :
My brother finds comfort in calculators
He assigns every number a name
He believes that they add up to certainty
And he's upset with the fractions that remain
So I examine these maps with my eyes and at best
I can trace with my finger all the way
To that town where she went an attempt to forget
The cracks and the lines of my face
So Jetsabel cleaned out the closets for me
And she piled the boxes in the hall
Tomorrow when she wakes she'll come take them away
And they will never haunt me again
But it is still hard to sleep with the moon's heavy beams
I run barefoot to the backyard
Just to freeze in my place by the wraught-iron gate
Too afraid and ashamed to advance
Today I walked through the snow and found a field of headstones
They were in rows like the weeks on calendars
Where each box is a day that you can ever escape
Without pills for your poisonous sleep
These memories leak from these faucets that weep
Hot tears splash against the shower floor
And I stand in the steam as if inside a dream
I can see her again by the sink
From behind the bathroom mirror she pulls a thermometer
And placed it underneath my tongue
She said 'you are as pale as a sheet, you look awful my sweet
Lay down and wait for the sun'
So I stayed in that bed, she brought me water and read
Each night from a volume out loud
She whispered soft poetry
Her favorite was 'Annabel Lee'
And those words, like these drugs, comforted me
But the clocks kept waving their hands and she could not understand
Why my temperature would never drop
And although she promised with tears that she would always be here
I heard truth like the sounding sea
I said, 'My Arienette, oh how soon you forget
This house will never be your home
And you will leave in the fall when the trees become graves
And their colors lie dead in the grass'
Gold and green torture me like the lies I believe so easily
Oh my Jetsabel, look at this hell that I have made
If you want maybe drop by sometime, put some flowers on my grave
So that I will look beautiful in my silent sepulchre
Yeah, that's fine, throw those dresses away
I don't want anything of hers
For the moon never shines and the stars never rise
Without bringing me dreams
Haunted by the ghosts of those bright eyes
Mon frère trouve du réconfort dans les calculatrices
Il attribue à chaque numéro un nom
Il croit qu'ils s'additionnent à la certitude
Et il est contrarié par les fractions qui restent
J'examine donc ces cartes avec mes yeux et au mieux
Je peux tracer tout le chemin avec mon doigt
Dans cette ville où elle est allée tenter d'oublier
Les fissures et les lignes de mon visage
Jetsabel a donc nettoyé les placards pour moi
Et elle a empilé les cartons dans le hall
Demain, quand elle se réveillera, elle viendra les emporter
Et ils ne me hanteront plus jamais
Mais il est toujours difficile de dormir avec les lourds rayons de la lune
Je cours pieds nus dans la cour
Juste pour me figer à ma place près de la porte en fer enveloppé \u003cbr />
Trop peur et honte d'avancer
Aujourd'hui, j'ai marché dans la neige et trouvé un champ de pierres tombales
Ils étaient en rangées comme les semaines sur les calendriers
Où chaque boîte est un jour auquel vous pouvez vous échapper
Sans pilules pour votre sommeil venimeux
Ces souvenirs fuient de ces robinets qui pleurent
Des larmes chaudes éclaboussent le sol de la douche
Et je me tiens dans la vapeur comme dans un rêve
Je peux la revoir près de l'évier
Derrière le miroir de la salle de bain, elle tire un thermomètre
Et je l'ai placé sous ma langue
Elle a dit 'tu es aussi pâle qu'un drap, tu es horrible ma douce
Allongez-vous et attendez le soleil '
Alors je suis resté dans ce lit, elle m'a apporté de l'eau et lu
Chaque nuit à partir d'un volume à haute voix
Elle chuchota une douce poésie
Son préféré était 'Annabel Lee'
Et ces mots, comme ces drogues, m'ont réconforté \u003cbr />
Mais les horloges ont continué à agiter leurs mains et elle ne pouvait pas comprendre
Pourquoi ma température ne chuterait jamais
Et bien qu'elle ait promis avec larmes qu'elle serait toujours là \u003cbr />
J'ai entendu la vérité comme la mer qui sonne
J'ai dit: 'Mon Arienette, oh combien de temps tu oublies
Cette maison ne sera jamais votre maison
Et vous partirez à l'automne quand les arbres deviendront des tombes
Et leurs couleurs sont mortes dans l'herbe '
L'or et le vert me torturent comme les mensonges que je crois si facilement
Oh mon Jetsabel, regarde cet enfer que j'ai fait
Si vous voulez peut-être passer un jour, mettez des fleurs sur ma tombe
Pour que je sois belle dans mon sépulcre silencieux
Ouais, ça va, jette ces robes loin
Je ne veux rien de la sienne
Car la lune ne brille jamais et les étoiles ne se lèvent jamais
Sans me faire rêver
Hanté par les fantômes de ces yeux brillants
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