The lake - Bathory

The one eyed old man told me that the face that I will see

Has paralysed a thousand brave men sure of victory

I cannot fight blindfolded and I'd freeze if I should see.

So I need to sacrifice my eyes to see all from within.



The one eyed old man told me of a lake that no-one knows of.

where the end of the sky unites with the bottom countless feet down deep

And he told me when this world was young into it's depths his eye he had thrown

So that though one eyed, he could see more than can be seen.



I'll throw my eyes into the lake.

So that I will see from within

I'll throw my eyes into the lake

And when blind I will still see.



At the bottom of the lake.

My two eyes will shine like the stars

At the bottom of the lake

I will see no matter how near or far

Regardless at which speed my horse

takes me through the night

No matter how sharp the blade of my sword seems to be.

Even with the aid of two pair of eyes way up high

In the end before the Beast, it's face I would have had to see.



But with my two eyes in the depths my vision is supreme

I see all things that can't be seen

but not my hand that is held out in front of me.

The face that makes me freeze

I now need not see at all.

I'll feel the presence of the Beast.

but will not need stare him down no more.



I've thrown my eyes into the lake.

So that I will see from within

I've throw my eyes into the lake

And now when blind I still see.



At the bottom of the lake.

My two eyes are shining like the stars

At the bottom of the lake

I now see no matter how near or far



[The Highlands...]

[Early morning hours...]

["Heading north. Sitting upon his majestic eight-legged white stallion. His]-acap

Le vieillard borgne m'a dit que le visage que je vais voir

A paralysé un millier d'hommes courageux sûrs de la victoire

Je ne peux pas me battre les yeux bandés et je gèlerais si je voyais.

J'ai donc besoin de sacrifier mes yeux pour tout voir de l'intérieur.



Le vieillard borgne m'a parlé d'un lac que personne ne connaît.

où la fin du ciel s'unit avec les pieds innombrables en bas profond

Et il m'a dit quand ce monde était jeune dans ses profondeurs qu'il avait jetées

Pour que, même si on regarde, il puisse voir plus que ce que l'on peut voir.



Je jetterai mes yeux dans le lac.

Pour que je voie de l'intérieur

Je jetterai mes yeux dans le lac

Et quand je serai aveugle, je verrai toujours.



Au fond du lac.

Mes deux yeux brilleront comme les étoiles

Au fond du lac

Je verrai peu importe la distance ou la distance

Quelle que soit la vitesse à laquelle mon cheval

me fait traverser la nuit

Peu importe la netteté de la lame de mon épée.

Même à l'aide de deux paires d'yeux très haut

À la fin avant la Bête, c'est le visage que j'aurais dû voir.



Mais avec mes deux yeux dans les profondeurs, ma vision est suprême

Je vois tout ce qui ne peut pas être vu

mais pas ma main tendue devant moi.

Le visage qui me fait geler

Je n'ai plus besoin de voir du tout.

Je sentirai la présence de la Bête.

mais il n'aura plus besoin de le regarder.



J'ai jeté mes yeux dans le lac.

Pour que je voie de l'intérieur

J'ai jeté mes yeux dans le lac

Et maintenant, quand je suis aveugle, je vois toujours.



Au fond du lac.

Mes deux yeux brillent comme les étoiles

Au fond du lac

Je vois maintenant, peu importe la distance ou la distance



[Les Highlands ...]

[Tôt le matin ...]

["En direction du nord. Assis sur son majestueux étalon blanc à huit pattes. Son] -cap