Another Murder Of A Day - Banks Tony

She dreams china white behind her eyes of china blue

Her future wrapped in velvet and her memories wrapped in warm cotton wool



And the coffee grounds

are burying the hours that she killed

in another murder of a day



Her patience starts to crumble

like a rock that turns to sand

and time breaks down to seconds

when you're waiting on a man



She's checking out the doorway while she's checking out the guy

Whose drunk imagination is climbing up the ladder of her silk clad thigh



And the cigarettes

are burning up the hours that she killed

in another murder of a day



Her patience starts to crumble

like a rock that turns to sand

and time breaks down to seconds

when you're waiting on a man



It seems so long since yesterday

The time goes by so slow

When you're waiting on a man, waiting on a man to show



She shivers in a cold sweat that she's trying to ignore,

As she wraps her shaking fingers round the loose change by the phone,

She needs him more than she'll admit and more than others need to know,

She hopes the knots that tie her stomach are only butterflies,

The time goes by so slow

When you're waiting on a man, waiting on a man to show



She prays that no one pays attention

As she punches out the call,

As she fumbles with the number

That the panic still doesn't show,

She prays the lights stay green all night

and that the traffic doesn't slow,

And that the knots that tie her stomach are only butterflies,



Only butterflies, fly by every day

When you're waiting on a man, waiting on a man to show



There he stands behind the door,

She reaches for her coat to go,

And she wanders away in a dream

She wanders away in a dream



As she threads her way home through the neon washed alleyways

She flirts with the shadows and skirts round the victims

Of a night that'll sleep through the day

that cast out its refugees and throws out its debris,



She turns the key in a lock to a fairytale world

that she guards with her ghosts and her faithful familiars

who attend to her shrine in the patchwork cathedral

observing the ritual with silent compassion and prayers



On the candlelit edges of a tightening circle

She arranges the photographs faded and yellowing

Memories left of her friends and her family

Respectfully turned to the wall



She turns up the sound on a second hand radio

and drowns out the noise of the world that she lives in

Her conscience her witness her life is her courtroom

And the man she left waiting is waiting to murder a day

Elle rêve de porcelaine blanche derrière ses yeux de bleu porcelaine

Son avenir enveloppé de velours et ses souvenirs enveloppés de coton chaud



Et le marc de café \u003cbr />
enterrent les heures qu'elle a tuées

dans un autre meurtre d'un jour



Sa patience commence à s'effriter

comme un rocher qui se transforme en sable

et le temps se décompose en secondes

quand tu attends un homme



Elle vérifie la porte pendant qu'elle vérifie le gars

Dont l'imagination ivre grimpe sur l'échelle de sa cuisse en soie



Et les cigarettes

brûlent les heures qu'elle a tuées

dans un autre meurtre d'un jour



Sa patience commence à s'effriter

comme un rocher qui se transforme en sable

et le temps se décompose en secondes

quand tu attends un homme



Cela semble si long depuis hier

Le temps passe si lentement

Lorsque vous attendez un homme, attendez un homme pour montrer



Elle frissonne d'une sueur froide qu'elle essaie d'ignorer,

Alors qu'elle enroule ses doigts tremblants autour de la monnaie par le téléphone,

Elle a besoin de lui plus qu'elle ne l'admettra et plus que d'autres ne doivent le savoir,

Elle espère que les n?uds qui lui nouent le ventre ne sont que des papillons,

Le temps passe si lentement

Lorsque vous attendez un homme, attendez un homme pour montrer



Elle prie pour que personne n'y prête attention

Alors qu'elle lance l'appel,

Alors qu'elle tâtonne avec le nombre

Que la panique ne se montre toujours pas,

Elle prie que les lumières restent vertes toute la nuit

et que le trafic ne ralentit pas,

Et que les n?uds qui lui nouent le ventre ne sont que des papillons,



Seuls les papillons passent tous les jours

Lorsque vous attendez un homme, attendez un homme pour montrer



Là, il se tient derrière la porte,

Elle atteint pour son manteau pour aller,

Et elle s'égare dans un rêve

Elle s'éloigne dans un rêve



Alors qu'elle rentre chez elle à travers les ruelles lavées au néon

Elle flirte avec les ombres et jupes autour des victimes

D'une nuit qui va dormir toute la journée

qui a chassé ses réfugiés et jette ses débris,



Elle tourne la clé dans une serrure vers un monde de conte de fées

qu'elle garde avec ses fantômes et ses fidèles familiers

qui s'occupe de son sanctuaire dans la cathédrale en patchwork

observer le rituel avec une compassion silencieuse et des prières



Sur les bords éclairés aux chandelles d'un cercle de serrage

Elle arrange les photos fanées et jaunissantes

Souvenirs de ses amis et de sa famille

Respectueusement tourné vers le mur



Elle monte le son sur une radio d'occasion

et noie le bruit du monde dans lequel elle vit

Sa conscience, son témoin, sa vie est sa salle d'audience

Et l'homme qu'elle a laissé attendre attend de tuer un jour