The Ghost Of Angkor Wat - Bal-Sagoth

[Instrumental]



[17 October: 1893]

Such grim musings as have been occupying my mind of late unfortunately seem

to suggest a possible link to the fate of my learned friend and colleague

Doctor Ignatius Stone. That brilliant researcher was last seen in command

of all his faculties whilst on an expedition to the ruins of the Sumerian

city of Ur, an undertaking which preceded my own work there by some eighteen

months. Stone was a gifted archaeologist who also dabbled, perhaps unwisely,

in certain areas of the occult, particularly involving the various

grotesqueries once worshipped as Cthonic deities by the ancient denizens of Ur.

Mere days before he ventured into the ziggurats of that foreboding,

mystery-haunted site, he had dispatched a letter to me claiming that he was

on the verge of a truly staggering arcane discovery at Ur which would

simultaneously prove the cyclical nature of human civilisation as well as

immediately render redundant all previous theories on the origin of man.

Whatever misfortune befell him within those aeons-old tombs robbed him

irrevocably of his sanity, for when his attendants finally managed to prise

open the stone door of the vast central catacomb, which had, I'm told,

inexplicably shut fast behind his three-man torch-bearing party, they found

two of the regularly stalwart men had seemingly expired of pure fright,

while Stone was slumped against the north wall, staring vacantly into the

gloom, gibbering about visitations by beings so terrible that the very

contemplation of their existence would sunder a man's tenuous hold on the

reins of sanity.

When I later visited him at the sanatorium in England, I found him to be a

tragic shell of the man I once knew, a man beset by imagined terrors and

ever wary of the immemo

[Instrumental]



[17 octobre: ​​1893]

Ces rêveries sombres qui ont occupé mon esprit récemment semblent malheureusement

pour suggérer un lien possible avec le sort de mon confrère et collègue

Docteur Ignatius Stone. Ce brillant chercheur a été vu pour la dernière fois aux commandes

de toutes ses facultés lors d'une expédition dans les ruines du sumérien

ville d'Ur, une entreprise qui a précédé mon propre travail d'environ dix-huit

mois. Stone était un archéologue doué qui a également barboté, peut-être imprudemment,

dans certaines zones de l'occulte, impliquant notamment les divers

grotesqueries autrefois vénérées comme des divinités cthoniques par les anciens habitants d'Ur.

Quelques jours seulement avant qu'il ne s'aventure dans les ziggourats de cet pressentiment,

site hanté par des mystères, il m'avait envoyé une lettre affirmant qu'il était

au bord d'une découverte des arcanes vraiment stupéfiante à Ur qui

prouver simultanément la nature cyclique de la civilisation humaine ainsi que

rendre immédiatement redondantes toutes les théories précédentes sur l'origine de l'homme.

Quel que soit le malheur qui lui est arrivé dans ces tombes datant de plusieurs siècles, il l'a volé \u003cbr />
irrévocablement de sa raison, car quand ses préposés ont finalement réussi à récompenser

ouvrir la porte en pierre de la vaste catacombe centrale, qui avait, me dit-on,

inexplicablement fermé rapidement derrière son groupe de trois hommes portant le flambeau, ils ont trouvé \u003cbr />
deux des hommes régulièrement fidèles avaient apparemment expiré de pure peur,

tandis que Stone était affalé contre le mur nord, regardant fixement dans le

tristesse, bavardant sur les visites d'êtres si terribles que le très

la contemplation de leur existence ferait disparaître l'emprise ténue d'un homme sur la

rênes de raison.

Plus tard, lorsque je lui ai rendu visite au sanatorium en Angleterre, je l'ai trouvé \u003cbr />
coquille tragique de l'homme que j'ai connu, un homme assailli par des terreurs imaginées et

toujours méfiant de l'immémo