(An Ode To) The Autumnlands - Aura

Above the silvery lake of a sleepers kingdome we danced...



...in perpetual light, reaching for the waves though never

sharing it's warmth Enstranged from beauty we were part of the sky.

The greeted ones were we, in the hallway of our astral fathers.

In the dephts of the starcrossed sky...

...of aurian light we should be...



Of seasons bygone...



In fathomless dephts we fell, and I cried:



"Nail me on that cross up there...

That thou mayest repent these days...

Weep, my father weep...weep black thy heavens grace



Bleed, my father, bleed.

Bleed red my blessed surrays...

Bleed, my father, bleed

Bleed black my red surrays..."



(and the chanting arose;)



No light pervades the nightly darkness, wherein develleth

a million souls of men. Wake me ! Pray for me !

For too long hath lasted this sunless hour, wherein all

are born, yet blossometh none, nor the moon...



And here my friend, my dream hath ended. I leave thee

with a golden dawn. Oh, long lost sun, For thee this ode,

of yesteryears unsung ! Of all autumnal joys bereaved

I rose the morrow morn...



"Light or our darksome journey here

with days deviding night from night

loud crows, the dawn's harbinger

and wakens up, the sunbeams bright"

Au-dessus du lac argenté d'un dôme dormant, nous avons dansé ...



... dans une lumière perpétuelle, atteignant les vagues mais jamais

partageant sa chaleur Enracinés dans la beauté, nous faisions partie du ciel.

Les salués étaient nous, dans le couloir de nos pères astraux.

Dans les profondeurs du ciel étoilé ...

... de lumière aurienne, nous devrions être ...



Des saisons révolues ...



Dans des profondeurs insondables nous sommes tombés, et j'ai pleuré:



"Clouez-moi sur cette croix là-haut ...

Que tu te repens ces jours-ci ...

Pleure, mon père pleure ... pleure noir ta grâce céleste



Saigner, mon père, saigner.

Saigner rouge mes bénis surrays ...

Saigner, mon père, saigner

Saigner en noir mes surrays rouges ... "



(et le chant a éclaté;)



Aucune lumière ne pénètre les ténèbres nocturnes, dans lesquelles dévelleth

un million d'âmes d'hommes. Reveille-moi ! Priez pour moi!

Depuis trop longtemps a duré cette heure sans soleil, où tout

sont nés, mais ne fleurissent pas, ni la lune ...



Et ici mon ami, mon rêve est terminé. Je te quitte

avec une aube dorée. Oh, soleil perdu depuis longtemps, pour toi cette ode,

d'antan méconnus! De toutes les joies automnales endeuillées

Je me suis levé le lendemain matin ...



"La lumière ou notre sombre voyage ici

avec des jours divisant la nuit de la nuit

corbeaux bruyants, signe avant-coureur de l'aube

et se réveille, les rayons du soleil brillants "