Nobody Knows - Allman Brothers Band

by Dickey Betts

Copyright 1991 Sony Music Entertainment, Inc.



Transcribed by Ed Luskey

Nobody knows about what's going on,

with the world and the steel,

the flesh and the bone.

River keeps flowing and the grass still grows,

and the spirit keeps going, nobody knows.

Poets they come and the poets they go,

politicians and preachers they all claim to know.

The words that are written and the melody's played,

as the years turn their pages, they all start to fade.

The oceans still move with the moon and the sky,

the grass still grows on the hillside.

Got to believe in believing,

got to believe in a dream,

freedom is ever deceiving,

never turning out to be what it seems.

It's amazing how fast our lives go by,

like the flash of the lightning or the blink of an eye.

We all fall in love, and we fall into life,

we look for the truth on the edge of a knife.

Heavens turn around the river still flows,

spirit keeps going, nobody knows.

Words that are written and melody's played,

as the years turn their pages, it all start to fade.

Oceans still move with the moon and the sky,

the grass still grows on the hillside.

Got to believe in believing,

got to believe in a dream,

freedom is ever deceiving,

never turning out to be what it seems.

par Dickey Betts

Copyright 1991 Sony Music Entertainment, Inc.



Transcrit par Ed Luskey

Personne ne sait ce qui se passe,

avec le monde et l'acier,

la chair et l'os.

La rivière continue de couler et l'herbe pousse toujours,

et l'esprit continue, personne ne sait.

Les poètes qu'ils viennent et les poètes qu'ils vont,

les politiciens et les prédicateurs qu'ils prétendent tous connaître.

Les mots qui sont écrits et la mélodie jouée,

à mesure que les années tournent leurs pages, elles commencent toutes à s'estomper.

Les océans bougent toujours avec la lune et le ciel,

l'herbe pousse toujours sur la colline.

Je dois croire en croire,

dois croire en un rêve,

la liberté est toujours trompeuse,

ne se révélant jamais être ce qu'il semble.

C'est incroyable à quelle vitesse nos vies passent,

comme l'éclair ou le clin d'oeil.

Nous tombons tous amoureux, et nous tombons dans la vie,

nous recherchons la vérité sur le tranchant d'un couteau.

Les cieux tournent autour de la rivière qui coule encore,

l'esprit continue, personne ne sait.

Mots écrits et mélodies jouées,

à mesure que les années tournent leurs pages, tout commence à s'estomper.

Les océans bougent toujours avec la lune et le ciel,

l'herbe pousse toujours sur la colline.

Je dois croire en croire,

dois croire en un rêve,

la liberté est toujours trompeuse,

ne se révélant jamais être ce qu'il semble.