She Painted Fire Across The Skyline - Agalloch

Oh dismal mourning...

I open my weary eyes once again

My life has been left hollow and ashes have filled the gorge of my within

Last night I hoped and wished I'd die in my sleep but no catharsis was granted to

me

Will this pain ever pass?

The enchanting perfume of winter and the bleak, cold breath of her still haunts

me...

Oportet ubique pulchritudinem evanescere



So half of me rode to the mountains and the other half soared high in the winds

to a place where the angels had fallen, the soil gagged and choked on their wings

My soul was the pale skyline that she stretched across the horizon

Two years had brought the fire that she paints upon my loathsome canvas



She is the dark one...

As a bird I watched her from my cold tower in the heavens

and when she fell from the northplace, I flew down and embraced her

I took her where the snow falls forever, she showed me the haunted woods

We gathered together in the oaken palace, free from both death and life

The fire blazed in her eyes one day and she tore the soul from my chest

With a bleeding heart, I flew back to my cold tower

to never escape and lie in a pool of death forever



I saw the nightfall...

It called to me like a river of shadows

It sang to me with the cries of a thousand ravens that blackened the sky as they

took flight

and sank the Sol

I shall never trust the sun again, Eridanis Nadir



I ran away far into the woods

To find the Sol, I called to her...

"I don't want to be forgotten...I never wanted to be human"

NEVER!!!!!



So alas the sun had descended, her fire burned brilliant in the sky

The trees bore their withered silhouettes, that cast a spell upon unearthly white

No wolf shall keep his secrets, no bird shall dance the skyline

And I am left with nothing but an oath that gleams like a sword

To bathe in the blood of man

Mankind...



[Music by Haughm (7/97 - 1/99)]

Oh triste deuil ...

J'ouvre à nouveau les yeux fatigués

Ma vie a été laissée vide et les cendres ont rempli la gorge de mon intérieur

Hier soir, j'espérais et j'aurais souhaité mourir dans mon sommeil, mais aucune catharsis n'a été accordée à \u003cbr />
moi

Cette douleur passera-t-elle jamais?

Le parfum enchanteur de l'hiver et le souffle sombre et froid de sa hantise encore

moi ...

Oportet ubique pulchritudinem evanescere



Alors la moitié de moi est montée dans les montagnes et l'autre moitié a volé haut dans les vents

à un endroit où les anges étaient tombés, le sol bâillonné et étouffé sur leurs ailes

Mon âme était l'horizon pâle qu'elle étirait à travers l'horizon

Deux ans avaient amené le feu qu'elle peint sur ma répugnante toile



Elle est la sombre ...

En tant qu'oiseau, je l'ai regardée depuis ma tour froide dans les cieux

et quand elle est tombée du nord, je suis descendue et je l'ai embrassée

Je l'ai emmenée là où la neige tombe pour toujours, elle m'a montré les bois hantés

Nous nous sommes réunis dans le palais de chêne, libre de la mort et de la vie

Le feu a brillé dans ses yeux un jour et elle a arraché l'âme de ma poitrine

Le c?ur saignant, je suis retourné dans ma tour froide

pour ne jamais s'échapper et rester dans un bassin de mort pour toujours



J'ai vu la nuit tombée ...

Il m'a appelé comme une rivière d'ombres

Il m'a chanté avec les cris de mille corbeaux qui ont noirci le ciel alors qu'ils

a pris son envol

et a coulé le Sol

Je ne ferai plus jamais confiance au soleil, Eridanis Nadir



Je me suis enfui loin dans les bois

Pour trouver le Sol, je l'ai appelée ...

"Je ne veux pas être oublié ... je n'ai jamais voulu être humain"

JAMAIS!!!!!



Alors hélas le soleil était descendu, son feu brillait dans le ciel

Les arbres portaient leurs silhouettes flétries, qui envoûtaient un blanc surnaturel

Aucun loup ne doit garder ses secrets, aucun oiseau ne doit danser l'horizon

Et je n'ai plus qu'un serment qui brille comme une épée

Se baigner dans le sang de l'homme

L'humanité ...



[Musique de Haughm (7/97 - 1/99)]