The Crawling Chaos - Rage

Music and Lyrics by P. Wagner)



It was the year of madness and insanity.

There was no other cure for my disease

The overdose - I took it Œcause I had to flee,

it was nearly a journey that had no return,

the fever burned, I was gone - delirium.



There I was striding to heaven and they were calling me

from beyond and I heard : ³Dont look back !²

But I did and my eyes, they can¹t forget that sight

Œcause all water and land was dead.



Destroyed, denied, all tears undried,

the crawling chaos comes,

The twilight died, eternal night,

the crawling chaos comes.



A giant maelstrom, absorbing what we¹d left back,

the desert of cadaverous, mortal loam

and jungles of decay and decadence, where once

had been the homelands of my people,

temples of my ancestors, they were gone, dead and gone



Then the cracks in the ground, they were breaking up

and all water was streaming in,

manifesting the sight of the dead Berlin

and London and Paris were graves

Musique et paroles de P. Wagner)



C'était l'année de la folie et de la folie.

Il n'y avait pas d'autre remède pour ma maladie

Le surdosage - je l'ai pris parce que j'ai dû fuir,

c'était presque un voyage sans retour,

la fièvre a brûlé, j'étais parti - délire.



Là, je marchais vers le ciel et ils m'appelaient

d'au-delà et j'ai entendu: `` Ne regardez pas en arrière! ?

Mais je l'ai fait et mes yeux, ils ne peuvent pas oublier cette vue

Parce que toute l'eau et la terre étaient mortes.



Détruit, nié, toutes les larmes non séchées,

le chaos rampant vient,

Le crépuscule est mort, nuit éternelle,

le chaos rampant vient.



Un maelström géant, absorbant ce que nous avions laissé en arrière,

le désert de loams cadavériques et mortels

et jungles de décadence et de décadence, où une fois

avait été la patrie de mon peuple,

temples de mes ancêtres, ils étaient partis, morts et partis



Puis les fissures dans le sol, elles se brisaient

et toute l'eau coulait dedans,

manifestant la vue du Berlin mort

et Londres et Paris étaient des tombes