Rivers - Passenger

There?s wood chip on the walls,
There?s wood on the stove,
You would if you could but you cannot I know,
But i?m still yours alone.

We?d lie on our backs,
We?d lie on your floor,
But we lied so much we don?t talk any more,
But i?m still yours alone,
You said you were tired I said I feel the same,
I put on my shoes and I got on the train.

To see sunlight fade and the shadows grow long,
To see rivers go winding blindly back to the storm,
And the rickety tracks they?re taking me back to where I used to belong.

There?s a weight on our shoulders,
A weight to your tone,
You wait on tables I wait by the phone,
And i?m still yours alone.

You blew out the candles when we fell apart,
I?m not childish just scared of the dark.

I see sunlight fade and the shadows grow long,
To see rivers go winding blindly back to the storm,
And the rickety tracks they are taking me back to where i used to belong.

oh oh oh oh oh
oh oh oh oh oh
oh oh oh oh oh
oh oh oh oh oh

I feel sunlight fade and the shadows grow long,
I see rivers go winding blindly back to the storm,
And the rickety tracks taking me back to where I used to belong.

Il y a des copeaux de bois sur les murs,
Il y a du bois sur le poêle,
Vous le feriez si vous le pouviez mais vous ne pouvez pas, je sais,
Mais je suis toujours à toi seul.

Nous serions couchés sur le dos,
Nous serions allongés sur votre sol,
Mais nous avons tellement menti que nous ne parlons plus,
Mais je suis toujours à toi seul,
Tu as dit que tu étais fatigué J'ai dit que je ressentais la même chose,
J'ai mis mes chaussures et je suis monté dans le train.

Pour voir la lumière du soleil s'estomper et les ombres s'allonger,
Pour voir les rivières s'enrouler aveuglément vers la tempête,
Et les traces branlantes qu'ils me ramènent à ma place d'appartenance.

Il y a un poids sur nos épaules,
Un poids à votre ton,
Tu attends sur des tables j'attends par téléphone,
Et je suis toujours à toi seul.

Tu as soufflé les bougies quand nous nous sommes effondrés,
Je ne suis pas enfantin, j'ai juste peur du noir.

Je vois la lumière du soleil s'estomper et les ombres s'allonger,
Pour voir les rivières s'enrouler aveuglément vers la tempête,
Et les pistes branlantes qu'ils me ramènent là où j'étais.

Oh oh oh oh oh
Oh oh oh oh oh
Oh oh oh oh oh
Oh oh oh oh oh

Je sens la lumière du soleil s'estomper et les ombres s'allongent,
Je vois les rivières s'enrouler aveuglément dans la tempête,
Et les pistes branlantes qui me ramènent à ma place.