No Pain - New Model Army

Across the town on the other hill,

your lights glow from a different world.

You always found a place to hide - nails and cross to lay beside;

with all the ghosts that we denied.

Now, in rippled arcs across the sky, the great white birds of winter fly;

and the wheel turns, and people change - scattered ashes to the wind.

And there's no pain, there's no pain, there's no pain

A dry river in the blazing sun . . .



Your parched face and your callused hands,

Behind us lie the arid lands

To say too much - well, it was not our way,

and in the end there wasn't much to say;

the scars are healed now anyway

and there's no pain. . . a dry river in the blazing sun . . .



And Abraham rose, took his only son, and knife and tinder

in his hand, and setting out across the desert and up into

the scrubland hills, he bound the boy Isaac to the stone,

raised the blade and waited for the miracle.

But the wind blows silent across the hills, across the dead and the empty hills,

dead, like the god that never came,

like your face, the day that you turned away.

There's no pain . . . a dry river in the blazing sun . . .

À travers la ville sur l'autre colline,

vos lumières brillent d'un monde différent.

Vous avez toujours trouvé un endroit pour vous cacher - clous et croix pour vous allonger;

avec tous les fantômes que nous avons refusés.

Maintenant, dans des arcs ondulés à travers le ciel, les grands oiseaux blancs de l'hiver volent;

et la roue tourne et les gens changent - des cendres dispersées au vent.

Et il n'y a pas de douleur, il n'y a pas de douleur, il n'y a pas de douleur

Une rivière à sec sous un soleil de plomb. . .



Votre visage desséché et vos mains calleuses,

Derrière nous se trouvent les terres arides

Dire trop - eh bien, ce n?était pas notre façon de faire,

et au final il n'y avait pas grand chose à dire;

les cicatrices sont guéries maintenant de toute façon

et il n'y a pas de douleur. . . une rivière à sec sous un soleil de plomb. . .



Et Abraham se leva, prit son fils unique, un couteau et de l'amadou

dans sa main, et partant à travers le désert et dans

les collines de garrigue, il a lié le garçon Isaac à la pierre,

leva la lame et attendit le miracle.

Mais le vent souffle silencieux à travers les collines, à travers les morts et les collines vides,

mort, comme le dieu qui n'est jamais venu,

comme ton visage, le jour où tu t'es détourné.

Il n'y a pas de douleur. . . une rivière à sec sous un soleil de plomb. . .