Manufacturing Greed - Misery Index

Commodify the vision and sanctify the rape with moral antidotes.
Wide awake and dead, we consumate the bond, stomach tied in knots.
Driving class relations, engines working hard, this mechanism breeds
contradictions.
Bury expectations, nothing's going to last, the tide is turning back -
revocation.

They can't control us, there's nothing left.
Our thirst for vengeance, your dying breath.
It's a quiet revolution, from the city to the fields.
We're not forgotten, reject this greed machine.

Hope is for the hopeless, dreaming for a life as opiates replace human
passion.
Advertise our weakness, colonize our space, feed the appetite as force fed
gluttons.

It's life in dead time, it's self-decay.
Their so-called heaven now rots away.
It's a quiet revolution, from the city to the fields.
We're not forgotten, reject this greed machine.

With golden eyes our gods will lead us.
As labor slaves we work away.
Drunk and baited, packaged, processed.
This market orgy fucks for pay.

Cutting through the lies that bind us.
Fist-fucking the status quo.
We loot and burn their paradise.
Burn.

Their planet's just a whorehouse, based on greed and avarice.
Demand your life and take it back, their world is dead and drunk on piss.
You're a slave if your collar's white, a slave if your collar's blue.
Chains locked around your neck, you'll work too hard, you'll work to death.

Tides of human flotsam floating, tired and alone.
The ones who want to fight are the ones that have no hope.
Bury all your trust just like you buried all your dreams.
The ends that justified their rule will justify our means.

Commodifier la vision et sanctifier le viol avec des antidotes moraux.
Éveillés et morts, nous consommons le lien, le ventre noué.
Conduisant les relations de classe, les moteurs travaillant dur, ce mécanisme engendre
contradictions.
Enterrez les attentes, rien ne va durer, la marée revient -
révocation.

Ils ne peuvent pas nous contrôler, il n'y a plus rien.
Notre soif de vengeance, votre souffle mourant.
C'est une révolution tranquille, de la ville aux champs.
Nous ne sommes pas oubliés, rejetez cette machine de cupidité.

L'espoir est pour les désespérés, rêvant d'une vie alors que les opiacés remplacent l'homme
la passion.
Annoncez notre faiblesse, colonisez notre espace, nourrissez l'appétit en étant nourri de force
gloutons.

C'est la vie en temps mort, c'est l'auto-décomposition.
Leur soi-disant paradis pourrit maintenant.
C'est une révolution tranquille, de la ville aux champs.
Nous ne sommes pas oubliés, rejetez cette machine de cupidité.

Avec des yeux dorés, nos dieux nous conduiront.
En tant qu'esclaves du travail, nous travaillons loin.
Ivre et appâté, emballé, transformé.
Cette orgie du marché baise contre rémunération.

Couper les mensonges qui nous lient.
Fist-fucking le statu quo.
Nous pillons et brûlons leur paradis.
Brûler.

Leur planète n'est qu'un bordel, basé sur la cupidité et l'avarice.
Exigez votre vie et reprenez-la, leur monde est mort et ivre de pisse.
Tu es un esclave si ton collier est blanc, un esclave si ton collier est bleu.
Des chaînes serrées autour de votre cou, vous travaillerez trop dur, vous travaillerez à mort.

Des marées de flotteurs humains flottant, fatigués et seuls.
Ceux qui veulent se battre sont ceux qui n'ont aucun espoir.
Enterrez toute votre confiance comme vous avez enterré tous vos rêves.
Les fins qui ont justifié leur domination justifieront nos moyens.