Ship of Stone - Kathy Mar

Once there was a Ship of Stone

That orbited a mighty Star

And from it flew the First Ship's crew

Whose children we all are



And no matter how long we've drawn our track

Still over our shoulder looking back

Through the hydrogen's hiss and the methane's moan

Past the polymer clouds of the Dead Stars' shrouds

All our roads run back to the Ship of Stone





There the First Crew all were made

And wakened from unknowing sleep

By the boundless sight of Heaven's height

And the fires of the Deep



And no matter how strange the forms we wear

How warped and wild, how rich and rare

How changed we've made the seed we've sown

We are blood of those who, singing, rose

From the body of the Ship of Stone





And there our own ships' frames were formed

To grow blue-glowing wings

And spread them wide to the farthest tide

Where the last lone beacon sings



And no matter how tight the net they knot

Of our web where the Wheel of Light is caught

How strange and lost, how grand they've grown

They, too, desire all Heaven's fire

Our comrades since the Ship of Stone





Once there was a Ship of Stone

Clear domed, broad hulled and clean

Where the air shown blue, through whose holds birds flew

And whose decks were growing green



And no matter odd these things may seem

As madly mazed as shards of dream

They are not a dream that you dream alone

All ships, all men, are of one kin

We shall not forget the Ship of Stone.

Une fois qu'il y avait un navire de pierre

Qui a orbité autour d'une puissante étoile

Et de là a volé l'équipage du premier navire

Dont les enfants que nous sommes tous



Et peu importe combien de temps nous avons tracé notre piste

Toujours par-dessus notre épaule en regardant en arrière

À travers le sifflement de l'hydrogène et le gémissement du méthane

Passé les nuages ​​de polymère des linceuls des étoiles mortes

Toutes nos routes remontent vers le navire de pierre





Là, le premier équipage a été fait

Et réveillé d'un sommeil inconscient

Par la vue illimitée de la hauteur du ciel

Et les feux des profondeurs



Et peu importe à quel point les formes que nous portons sont étranges

Comment déformé et sauvage, combien riche et rare

Comment nous avons changé la semence que nous avons semée

Nous sommes le sang de ceux qui, en chantant, se sont levés

Du corps du navire de pierre





Et là, nos propres cadres de navires ont été formés

Pour faire pousser des ailes bleues

Et les étaler largement jusqu'à la marée la plus éloignée

Où chante la dernière balise solitaire



Et peu importe à quel point le filet est serré \u003cbr />
De notre toile où la roue de la lumière est prise

Comme ils sont étranges et perdus, comme ils ont grandi

Eux aussi désirent tout le feu du Ciel

Nos camarades depuis le navire de pierre





Une fois qu'il y avait un navire de pierre

Dôme clair, coque large et propre

Où l'air était bleu, à travers lequel les oiseaux volaient

Et dont les ponts devenaient verts



Et peu importe ces choses étranges peuvent sembler

Aussi follement labyrinthe que des éclats de rêve

Ce n'est pas un rêve que vous rêvez seul

Tous les navires, tous les hommes, sont d'un même parent

Nous n'oublierons pas le navire de pierre.