The Spinningwheel - John McDermott

The Spinningwheel : To Eilly and Teesa in Philly



Mellow the moonlight to shine is beginning

Close to the window yound Eileen is spinning

Bent over the fire her blind grandmother sitting

Is crooning and moaning and drowsily knitting

Eileen achara I hear someone tapping

'Tis the ivy dear mother against the glass flapping

Eilly I surely hear somebody sighing

'Tis the sound mother dear of the summer winds dying

(Chorus)



Merrily, cheerily, noiselessly whirring

Swings the wheel, spins the wheel while the foot's stirring

Sprightly and brightly and airily ringing

Thrilss the sweet voice of the young maiden singing



What's that noise I hear at the window I wonder

'Tis the little birds chirping the holly bush under

What makes you be shovin' and moving your stool on

And singing all wrong that old song of the coolin'

There's a form at the casement the form of her true love

And he whispers with face bent I'm waiting for you love

Get up on your stool through the lattice step lightly

We'll rove in the grove while the moon's shining brightly



(Chorus)



The maid shakes her head on her lips lays her fingers

Steals up from her seat longs to go and yet lingers

A frightened glance turns to her drowsy grandmother

Puts one foot on the stool spins the wheel with the other

Lazily, easily swings now the wheel round

Slowly and lowly is heard now the reel's sound

Noisless and light to the lattice above

The maid steps then leap to the arms of her lover



(Chorus)



Slower and slower and slower the wheel swings

Lower and lower and lower the reel rings

Ere the reel and the wheel stopped there ringing and moving

Through the grove the young lovers by

La roue tournante: à Eilly et Teesa à Philly



Adoucit le clair de lune pour briller

Près de la fenêtre, Yile Eileen tourne

Penché sur le feu, sa grand-mère aveugle assise

Est-ce que le chant et les gémissements et le tricot somnolent

Eileen achara j'entends quelqu'un tapoter

'Tis la chère mère de lierre contre le battement de verre

Eilly, j'entends sûrement quelqu'un soupirer

C'est la bonne mère chérie des vents d'été qui meurent

(Refrain)



Joyeusement, gaiement, vrombissant sans bruit

Fait pivoter la roue, fait tourner la roue pendant que le pied bouge

Sonnerie vive et lumineuse et aérienne

Émoustille la douce voix de la jeune chanteuse



Quel est ce bruit que j'entends à la fenêtre, je me demande

C'est les petits oiseaux qui chantent le buisson de houx sous

Ce qui vous fait piquer et déplacer votre tabouret

Et chanter tout faux cette vieille chanson du coolin '

Il y a une forme au battant la forme de son véritable amour

Et il murmure avec le visage courbé, je vous attends amour

Levez-vous sur votre tabouret à travers le treillis légèrement

Nous irons dans le bosquet pendant que la lune brille brillamment



(Refrain)



La femme de chambre secoue la tête sur ses lèvres pose ses doigts

Vole de son siège longtemps à faire et s'attarde encore

Un regard effrayé se tourne vers sa grand-mère somnolente

Met un pied sur le tabouret fait tourner la roue avec l'autre

Paresseusement, balance facilement la roue maintenant

Lentement et humblement se fait maintenant entendre le son de la bobine

Silencieux et léger au réseau au-dessus

La femme de chambre saute ensuite dans les bras de son amant



(Refrain)



De plus en plus lentement et de plus en plus lentement, la roue oscille

Abaisser et abaisser et abaisser les anneaux de bobine

Avant que le moulinet et la roue ne s'arrêtent là, ils sonnent et bougent

À travers le bosquet, les jeunes amoureux