My Heart Stood Still - FRANK SINATRA

(R. Rodgers, L. Hart)

[Recorded Febrary 18, 1963, Los Angeles]



[Version 1]



[Frank and chorus] (chorus only)



[Frank speaks]

When most us saddle up for the old trail for our last ride, we leave little

enough behind to show that once we have camped here. Some leave more than

others, some a memory and some a fortune, some a song. And a song can be as

fine a memorial to a man as anything that can be left behind, 'cause you see

it's gold, and it's gold that all can share. We have a great song to

remember Lorenz Hart by, that wonderful melody that he and Dick Rodgers

wrote for the Connecticut Yankee, of course you know, My Heart Stood Still

[sings]

I took one look at you, that's all I meant to do

And then my heart stood still,

My feet could step and walk, my lips could move and talk

And yet my heart stood still.

Though not a single word was spoken, I could tell you knew

That unfelt clasp of hands told me so well you knew

I never lived at all until the thrill of that moment

When my heart stood still.

(That unfelt clasp of hands told me how well you knew, hmmmm)

I laughed at sweethearts I met at schools

All indiscreet hearts seemed romantic fools

(A house in Iceland was my heart's domain)

(I saw your eyes, now castles rise in Spain!)

[a brief interlude through the first verse]

Though not a single word was spoken, I could tell you knew

That unfelt clasp of hands told me so well that you knew

I never lived at all [until the thrill of that moment]

[When my heart stood still.]





[Version 2]



I took one look at you,

That's all I meant to do

And then my heart stood still

My feet could step and walk

My lips could move and talk

And yet my

(R. Rodgers, L. Hart)

[Enregistré le 18 février 1963, Los Angeles]



[Version 1]



[Frank et choeur] (choeur seulement)



[Frank parle]

Lorsque la plupart d'entre nous montons sur l'ancien sentier pour notre dernier trajet, nous laissons peu

assez derrière pour montrer qu'une fois que nous avons campé ici. Certains partent plus que

d'autres, certains un souvenir et certains une fortune, certains une chanson. Et une chanson peut être aussi

amende un mémorial à un homme comme tout ce qui peut être laissé derrière, parce que vous voyez

c'est de l'or, et c'est de l'or que tout le monde peut partager. Nous avons une super chanson à \u003cbr />
souvenez-vous de Lorenz Hart de, cette merveilleuse mélodie que lui et Dick Rodgers

a écrit pour le Connecticut Yankee, bien sûr vous savez, My Heart Stood Still

[chante]

Je t'ai regardé, c'est tout ce que je voulais faire

Et puis mon c?ur s'est arrêté,

Mes pieds pouvaient marcher et marcher, mes lèvres pouvaient bouger et parler

Et pourtant, mon c?ur s'est arrêté.

Bien qu'aucun mot n'ait été prononcé, je pourrais dire que vous saviez

Cette poignée de mains non ressentie me le disait si bien que tu savais

Je n'ai jamais vécu du tout avant le frisson de ce moment

Quand mon c?ur s'est arrêté.

(Cette poignée de mains non ressentie m'a dit à quel point vous le saviez, hmmmm)

J'ai ri des amoureux que j'ai rencontrés dans les écoles

Tous les c?urs indiscrets semblaient des idiots romantiques

(Une maison en Islande était le domaine de mon c?ur)

(J'ai vu tes yeux, maintenant les châteaux se lèvent en Espagne!)

[un bref intermède à travers le premier couplet]

Bien qu'aucun mot n'ait été prononcé, je pourrais dire que vous saviez

Cette poignée de mains insensible m'a si bien dit que tu savais

Je n'ai jamais vécu du tout [jusqu'au frisson de ce moment]

[Quand mon c?ur s'est arrêté.]





[Version 2]



Je t'ai regardé,

C'est tout ce que je voulais faire

Et puis mon c?ur s'est arrêté

Mes pieds pouvaient marcher et marcher

Mes lèvres pouvaient bouger et parler

Et pourtant mon