The Mountain - Donovan

It was up some laughing river where I'd gone to spend the day.

I had such fantastic visions I could hardly stand to stay.

And I stood within myself and suddenly felt free,

And I stood above the burdens that puzzle you and me.



I became awareness that was shared with all around,

With the trees, the sky, the flowers, and the wind, the sun, the ground.

I heard the birds were singing and I found them same as me,

And I understood our sorrows and why they should not be.



I saw this plane of living, it was nothing more than faith,

A skin that covered glory, far beyond our love or hate,

A living crystal fairyland where loving is our grace,

A pyromanic garden that knows no time nor space.



I saw what we've been doing to it, saw it as insane,

Still a marching like good Christians with our wars, the sword, the flame,

To crush all those damned infidels, defend what should be shame.

And again I shared our sorrows and knew we all must bear the blame.



I see it all as part of us to know and share alike

With a universal willingness to know and do what's right,

To understand our brotherness and stop this awful race,

Let our children grow in peace, know their life shall not be waste.



First there is a mountain, then it seems the mountain's gone,

But then, if you take another look, why, it's been there all along.

We can be just like that river as it laughs along its way,

Or stand beneath the shadows that take the sun away

C'était au bord d'une rivière rieuse où j'étais allé passer la journée.

J'avais des visions si fantastiques que je pouvais à peine supporter de rester.

Et je me tenais en moi et je me sentais soudainement libre,

Et je me tenais au-dessus des fardeaux qui nous intriguent, moi et moi.



Je suis devenu une conscience partagée avec tout le monde,

Avec les arbres, le ciel, les fleurs et le vent, le soleil, le sol.

J'ai entendu que les oiseaux chantaient et je les ai trouvés comme moi,

Et j'ai compris nos chagrins et pourquoi ils ne devraient pas l'être.



J'ai vu ce plan de vie, ce n'était rien de plus que la foi,

Une peau qui recouvre la gloire, bien au-delà de notre amour ou de notre haine,

Une féerie de cristal vivante où l'amour est notre grâce,

Un jardin pyromanic qui ne connaît ni le temps ni l'espace.



J'ai vu ce que nous y avons fait, je l'ai vu comme un fou,

Encore une marche comme de bons chrétiens avec nos guerres, l'épée, la flamme,

Pour écraser tous ces damnés infidèles, défendez ce qui devrait être honteux.

Et encore une fois, j'ai partagé nos peines et je savais que nous devons tous en porter la responsabilité.



Je vois tout cela comme une partie de nous à connaître et à partager de la même façon

Avec une volonté universelle de savoir et de faire ce qui est bien,

Pour comprendre notre fraternité et arrêter cette horrible course,

Laissez nos enfants grandir en paix, sachez que leur vie ne sera pas un gaspillage.



Il y a d'abord une montagne, puis il semble que la montagne soit partie,

Mais alors, si vous jetez un autre coup d'?il, eh bien, il a toujours été là.

Nous pouvons être comme cette rivière qui rit tout au long de son chemin,

Ou debout sous les ombres qui emportent le soleil