The Fire Inside - Bob Seger

There's a hard moon risin' on the streets tonight

There's a reckless feeling in your heart as you head out tonight

Through the concrete canyons to the midtown lights

Where the latest neon promises are burning bright



Past the open windows on the darker streets

Where unseen angry voices flash and children cry

Past the phony posers with their worn out lines

The tired new money dressed to the nines

The low life dealers with their bad designs

And the dilettantes with their open minds



You're out on the town, safe in the crowd

Ready to go for the ride

Searching the eyes, looking for clues

There's no way you can hide

The fire inside



Well you've been to the clubs and the discotheques

Where they deal one another from the bottom of a deck of promises

Where the cautious loners and emotional wrecks

Do an acting stretch as a way to hide the obvious

And the lights go down and they dance real close

And for one brief instant they pretend they're safe and warm



Then the beat gets louder and the mood is gone

The darkness scatters as the lights flash on

They hold one another just a little too long

And they move apart and then move on



On to the street, on to the next

Safe in the knowledge that they tried

Faking the smile, hiding the pain

Never satisfied

The fire inside

Fire inside



Now the hour is late and he thinks you're asleep

You listen to him dress and you listen to him leave like you knew he would

You hear his car pull away in the street

Then you move to the door and you lock it when he's gone for good



Then you walk to the window and stare at the moon

Riding high and lonesome through a starlit sky

And it comes to you how it all slips away

Youth and beauty are gone one day

No matter what you dream or feel or say

It ends in dust and disarray



Like wind on the plains, sand through the glass

Waves rolling in with the tide

Dreams die hard and we watch them erode

But we cannot be denied

The fire inside

Il y a une lune dure qui monte dans les rues ce soir

Il y a un sentiment imprudent dans votre c?ur lorsque vous vous dirigez ce soir

À travers les canyons en béton jusqu'aux lumières du centre-ville

Où les dernières promesses de néons brillent



Passé les fenêtres ouvertes dans les rues sombres

Où des voix en colère invisibles clignotent et les enfants pleurent

Passé les fausses poses avec leurs lignes usées

Le nouvel argent fatigué habillé à neuf

Les marchands à vie réduite avec leurs mauvaises conceptions

Et les dilettantes avec leur esprit ouvert



Vous êtes en ville, en sécurité dans la foule

Prêt à partir pour la balade

À la recherche des yeux, à la recherche d'indices

Il n'y a aucun moyen de cacher

Le feu à l'intérieur



Eh bien, vous êtes allé dans les clubs et les discothèques

Où ils se traitent du fond d'un paquet de promesses

Où les solitaires prudents et les épaves émotionnelles

Faites un étirement pour masquer l'évidence

Et les lumières s'éteignent et ils dansent très près

Et pendant un bref instant, ils prétendent qu'ils sont en sécurité et au chaud



Ensuite, le rythme devient plus fort et l'humeur a disparu

L'obscurité se disperse lorsque les lumières clignotent

Ils se tiennent un peu trop longtemps

Et ils se séparent puis se déplacent



Dans la rue, dans la prochaine

Sûr en sachant qu'ils ont essayé \u003cbr />
Faire semblant de sourire, cacher la douleur

Jamais satisfait

Le feu à l'intérieur

Feu à l'intérieur



Maintenant l'heure est en retard et il pense que tu dors

Vous l'écoutez s'habiller et vous l'écoutez partir comme vous saviez qu'il le ferait

Vous entendez sa voiture reculer dans la rue

Ensuite, vous vous déplacez vers la porte et vous la verrouillez quand il est parti pour de bon



Ensuite, vous vous dirigez vers la fenêtre et regardez la lune

Monter haut et seul à travers un ciel étoilé \u003cbr />
Et il vous vient de voir comment tout se dérobe.

La jeunesse et la beauté ont disparu un jour

Peu importe ce que vous rêvez, ressentez ou dites

Il se termine par la poussière et le désarroi



Comme le vent dans les plaines, le sable à travers le verre

Vagues roulant avec la marée

Les rêves meurent dur et nous les regardons s'éroder

Mais on ne peut pas nous nier

Le feu à l'intérieur