7 Screaming Diz-Busters - BLUE OYSTER CULT

They held their heads with laughs of pain

They learned from men who'd just refrain

From glancing at a mirror's face

Seven screaming diz-busters who lurked by a rose

Had iron for a bloodstream and ice behind their eyes



On each and all those holy nights

Where dusters dust becomes the sale and lucifer, the light



They're long so long this time of year

When stars be crossed by twirling fear

You don't suppose I'd prove surprised

Seven screaming diz-busters should go the route and die

Without the warmth they learn to crave

With hardened smiles and evil signs



On each and all those holy nights

Where dusters dust becomes the sale and lucifer, the light



Bury me near the secret cove so they'll not know the way

Bury me there, behind the rose so they'll not rile my grave

I'll not reveal whose name still loose (?)

Well their laugh of pain...And their harder smiles...

And their rigid arms...And their evil signs...

Longer days and the longer nights

And their longer, and longer still



On each and all those holy nights

Where dusters dust becomes the sale and lucifer, the light

Ils se tenaient la tête avec des rires de douleur

Ils ont appris des hommes qui se sont abstenus

En regardant le visage d'un miroir

Sept étourdisseurs hurlants qui se cachaient devant une rose

Avait du fer pour une circulation sanguine et de la glace derrière les yeux



Sur chacune de ces nuits saintes

Où la poussière devient la vente et lucifer, la lumière



Ils sont si longs cette période de l'année

Quand les étoiles sont traversées par la peur tournoyante

Vous ne pensez pas que je serais surpris

Sept étourdisseurs hurlants devraient suivre la voie et mourir

Sans la chaleur, ils apprennent à avoir envie

Avec des sourires endurcis et des signes maléfiques



Sur chacune de ces nuits saintes

Où la poussière devient la vente et lucifer, la lumière



Enterre-moi près de la crique secrète pour qu'ils ne sachent pas le chemin

Enterre-moi là-bas, derrière la rose pour qu'ils ne ruinent pas ma tombe

Je ne révélerai pas dont le nom est encore lâche (?)

Et bien leur rire de douleur ... Et leurs sourires plus durs ...

Et leurs bras rigides ... Et leurs mauvais signes ...

Des jours plus longs et des nuits plus longues

Et leur plus, et plus encore



Sur chacune de ces nuits saintes

Où la poussière devient la vente et lucifer, la lumière