SCAPEGOAT - Atmosphere

It's the caffeine, the nicotine, the miligrams of tar

It's my habitat, it needs to be clean, it's my car

It's the fast talk they use to abuse and feed my brain

It's the cat box it needs to be changed, it's the pain

It's women, it's the plight for power it's government

The way your giving knowledge slow and throwing in subtle hints

It's rubbing it, It's itching it, It's applying cream

It's the foreigners sight seeing with high beams, It's in my dreams

It's the monsters that I conjure, It's the marijuana

It's emberassment, displacement, It's where I wander

It's my genre, It's Madonna's videos

It's game shows,cheap liquor,blunts, and bumper stickers with rainbows

It's angels, demons, gods, it's the white devils

It's the monitors, the soundman, it's the fucking mic levels

It's gas fumes, fast food, Tommy Hil, the date rap pill (?)

Columbia House music club, designer drugs and rhyming thugs

It's bloods and crips, five and six,

It's stick up kids, It's christian conservative terrorists, it's porno

flicks

It's the east coast, no it's the west coast

It's public schools, it's asbestos

It's mentholated, It's techno

It's sleep, life, and death

It's speed, coke, and meth

It's hay fever, pain relievers, oral sex, and smokers breath

It stretches for as far as the eye can see

It's reality, fuck it , it's everything but me

On and on and on and on

The list goes on and on and on and on

It's in the air, in the water, it's in the meat

It's indirect, indiscrete, inconsistent, and incomplete

It's on the street, every city and everywhere you go

In every man it's the insanity, the fantasy, the casualties

It's the health care system, it's welfare victims

It's assault weapons, it's television religion, and it's false lessons

It's cops, pigs with badges guns and sticks

It's harassment and a complex you carry when you're running shit

It's wondering if you get to eat

It's the winter , the weather

It's herpes, and it's forever

It's the virus that takes the lives of the weak and the strong

It's the drama that keeps on between me and my seed's mom

It's that need to speek long, It's my hunger for attention

It's the wack , who attack songs of redemption

It's prevention, It's the first solution

It's loosing the retribution(?), it's mental pollution, and public

execution

It's the nails that keep my hands and feet to these boards

It's the part time job that governs what you can afford

It's the fear, It's the fake

It's clear it can make time stop and leave you stranded in the year of

the

snake

It's the dollar, yen, pound, it's all denomination

It's hourly wages for your professional observations

It's on your face and it's in your eyes

It's everything you be

But it ain't me mother fucker, it ain't me

On and on and on and on

the list goes on and on and on and on

C'est la caféine, la nicotine, les milligrammes de goudron

C'est mon habitat, ça doit être propre, c'est ma voiture

C'est le discours rapide qu'ils utilisent pour abuser et nourrir mon cerveau

C'est la boîte à chat qu'il faut changer, c'est la douleur

Ce sont les femmes, c'est le sort du pouvoir, c'est le gouvernement

La façon dont vos connaissances sont lentes et jettent de subtils conseils

Il le frotte, Il le démange, Il applique la crème

C'est la vue des étrangers avec des feux de route, c'est dans mes rêves

Ce sont les monstres que j'évoque, c'est la marijuana

C'est la braise, le déplacement, c'est là que je me promène

C'est mon genre, ce sont les vidéos de Madonna

Ce sont des jeux télévisés, de l'alcool bon marché, des blunts et des autocollants pour pare-chocs avec des arcs-en-ciel

Ce sont des anges, des démons, des dieux, ce sont les diables blancs

Ce sont les moniteurs, le soundman, ce sont les putains de niveaux de micro

Ce sont des vapeurs de gaz, de la restauration rapide, Tommy Hil, la pilule de rap de date (?)

Club de musique de Columbia House, drogues de créateurs et voyous qui riment

C'est du sang et des crips, cinq et six,

C'est des enfants, c'est des terroristes chrétiens conservateurs, c'est du porno

films

C'est la côte est, non c'est la côte ouest

Ce sont les écoles publiques, c'est l'amiante

C'est mentholé, c'est techno

C'est le sommeil, la vie et la mort

C'est la vitesse, le coke et la meth

C'est le rhume des foins, les analgésiques, le sexe oral et la respiration des fumeurs

Il s'étire à perte de vue

C'est la réalité, merde, c'est tout sauf moi

Et ainsi de suite et sur et sur

La liste continue encore et encore et encore et encore

C'est dans l'air, dans l'eau, c'est dans la viande

C'est indirect, indiscret, incohérent et incomplet

C'est dans la rue, dans chaque ville et partout où vous allez

En chaque homme, c'est la folie, la fantaisie, les victimes

C'est le système de santé, ce sont les victimes de l'aide sociale

Ce sont des armes d'assaut, c'est la religion de la télévision et ce sont de fausses leçons

Ce sont des flics, des cochons avec des badges, des fusils et des bâtons

C'est du harcèlement et un complexe que vous portez lorsque vous exécutez de la merde

Je me demande si tu peux manger

C'est l'hiver, le temps

C'est l'herpès, et c'est pour toujours

C'est le virus qui prend la vie des faibles et des forts

C'est le drame qui continue entre moi et la maman de ma semence

C'est ce besoin de parler longtemps, c'est ma soif d'attention

C'est le wack, qui attaque les chansons de rédemption

C'est la prévention, c'est la première solution

C'est perdre le châtiment (?), C'est la pollution mentale, et le public

exécution

Ce sont les ongles qui gardent mes mains et mes pieds sur ces planches

C'est le travail à temps partiel qui régit ce que vous pouvez vous permettre

C'est la peur, c'est le faux

Il est clair que le temps peut s'arrêter et vous laisser coincé l'année de

le

serpent

C'est le dollar, le yen, la livre, c'est toute la dénomination

C'est le salaire horaire pour vos observations professionnelles

C'est sur ton visage et c'est dans tes yeux

C'est tout ce que tu es

Mais ce n'est pas moi, putain de mère, ce n'est pas moi

Et ainsi de suite et sur et sur

la liste continue encore et encore et encore et encore