Gus, The Theatre Cat - Andrew Lloyd Webber

Gus is the cat at the theatre door

His name, as I ought to have told you before

Is really Asparagus, and that's a fuss to pronounce

That we usually call him just Gus

His coat's very shabby, he's thin as a rake

And he suffers from palsy that makes his paw shake

Yet he was in his youth quite the smartest of cats

But no longer a terror to mice or to rats



For he isn't the cat that he was in his prime

Though his name was quite famous, he says, in his time

And whenever he joins his friends at their club

(Which takes place at the back of the neighboring pub)

He loves to regale them, if someone else pays

With anecdotes drawn from his palmiest days

For he once was a star of the highest degree

He has acted with Irving, he's acted with Tree

And he likes to relate his success on the halls

Where the gallery once gave him seven cat calls

But his greatest creation as he loves to tell

Was Firefrorefiddle, the fiend of the fell



I have played in my time every possible part

And I used to know seventy speeches by heart

I'd extemporize backchat, I knew how to gag

And I knew how to let the cat out of the bag

I knew how to act with my back and my tail

With an hour of rehearsal, I never could fail

I'd a voice that would soften the hardest of hearts

Whether I took the lead, or in character parts

I have sat by the bedside of poor little Nell

When the curfew was rung then I swung on the bell

In the pantomime season, I never fell flat

And I once understudied Dick Whittington's cat

But my grandest creation, as history will tell

was Firefrorefiddle, the fiend of the fell



Then, if someone will give him a toothful of gin

He will tell how he once played a part in East Lynne-acapo

Gus est le chat à la porte du théâtre

Son nom, comme j'aurais dû vous le dire auparavant

C'est vraiment des asperges, et c'est une histoire à prononcer

Que nous l'appelons habituellement juste Gus

Son manteau est très usé, il est mince comme un râteau

Et il souffre de paralysie qui fait trembler sa patte

Pourtant, il était dans sa jeunesse le plus intelligent des chats

Mais plus de terreur pour les souris ou les rats



Car il n'est pas le chat qu'il était dans la fleur de l'âge

Bien que son nom fût assez célèbre, dit-il, à son époque

Et chaque fois qu'il rejoint ses amis dans leur club

(Qui a lieu à l'arrière du pub voisin)

Il adore les régaler, si quelqu'un d'autre paie

Avec des anecdotes tirées de ses plus beaux jours

Car il était autrefois une star du plus haut degré \u003cbr />
Il a joué avec Irving, il a joué avec Tree

Et il aime raconter son succès dans les salles

Là où la galerie lui a jadis donné sept cris de chat

Mais sa plus grande création comme il adore raconter

Était Firefrorefiddle, le démon des morts



J'ai joué dans mon temps toutes les parties possibles

Et je connaissais soixante-dix discours par c?ur

Je improviserais un backchat, je savais bâillonner

Et j'ai su laisser sortir le chat du sac

Je savais comment agir avec mon dos et ma queue

Avec une heure de répétition, je ne pourrais jamais échouer

J'aurais une voix qui adoucirait les c?urs les plus durs

Si j'ai pris les devants, ou dans des parties de personnage

Je me suis assis au chevet de la pauvre petite Nell

Quand le couvre-feu a été sonné, j'ai basculé sur la cloche

Dans la saison de la pantomime, je ne suis jamais tombé à plat

Et j'ai une fois sous-étudié le chat de Dick Whittington

Mais ma plus grande création, comme l'histoire le dira

était Firefrorefiddle, le démon des morts



Ensuite, si quelqu'un lui donne une dent de gin

Il racontera comment il a joué un rôle dans East Lynne-acapo