Introduction
J-na Perez
J’ai le coeur qui saigne à l’intérieur
Qui ressent ma peine quand je pleure,
Ma solitude atteint ses limites,
je tombe dans le vide x3
J’ai tellement de choses à dire,
Que je ne saurai pas recommencer,
J’ai du mal à vivre du mal à respirer, j’lance un cris
de détresse oh SOS SOS SOS..
J’réfléchis trop,
j’dors pas la nuit,
Ma seule compagne ; mon insomnie,
J’répète les mêmes histoires,
Mais qui suis-je face à ce miroir ?
J’ai plus la force de vivre,
Ainsi ma seule compagne ; mon insomnie
J’cogite toute seule dans l’noir,
à la recherche d’un peu d’espoir
Je me réveille,
J’ai plus sommeil,
Il n’est que 4h du mat',
Je transpire j’ai,
Plus d’oxygène,
Ma solitude me gagne,
Et je relis ma vie comme dans un livre et je regrette,
De n’avoir rien su dire, mes joies, mes peines, toutes mes
colères..
J’ai tellement de choses à dire,
que je n’saurais pas recommencer
J’ai du mal à vivre du mal à respirer ;
j’lance un cris de détresse, oh SOS ladyladylady !
J’réfléchis trop
J’dors pas la nuit ma seule compagne ,mon insomnie ,
J’répète les mêmes histoires
Mais qui suis-je devant ce miroir ?
J’ai plus la force de vivre
Ainsi ma seule compagne ;mon insomnie,
J’cogite toute seule dans l’noir, à la recherche
d’un peu d’espoir..
Saaphyra ;
Ma boîte de présac me regarde de travers,
Assise sur mon lit,
Des idées sombres me traversent,
Il pleut dans mon cœur,
Mais qui a pu déclencher l’averse ?
Dur de s’endormir quand le sommeil a retourné sa veste,
La nuit me torture
Pendant qu’le soleil fait la sieste,
Reste, reste encore un peu,
Ouais fais-moi un geste.
Ici sa empeste,
la solitude c’est l’habitude,
Que faire pour qu’elle me laisse prendre un peu prendre
de l’altitude ?
Si mes yeux se ferment c’est pour retenir mes larmes,
Faut-il déclencher l’alarme ?
Mais mes rêves n’ont plus de charme.
Insomnie ne me sert pas trop fort dans tes bras,
Morfler à morfler m’a même rayer d’son répertoire,
Toutes mes nuits sont grises car je crame,
Trop de cigarettes,
La fumée m’enivre,
Faut-il qu’je cris, pour que ça s’arrête ?
Passes-moi l’allumette,
Un bidon d’essence,
Que j’fasse grillé mes peines et mes cicatrices,
Depuis ma naissance..
J’réfléchis trop ,
J’dors pas la nuit, ma seule compagne,
Mon insomnie.
J’répète les mêmes histoires,
Mais qui-suis-je fasse à ce miroir ?
J’ai plus la force de vivre,
Ainsi ma seule compagne ;mon insomnie,
J’cogite toute seule dans l’noir, à la recherche d’un
peu d’espoir…
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